Facebook et le net regorgent de pages qui retracent l’expérience
de démarches de perte de poids de gens qui un jour en ont assez de souffrir. J’en
suis quelques-uns. Je ne les nommerai pas. Tapez «Kilos», «Perte de poids» dans
Facebook. Y’en a des tonnes. Je les prendrais tous dans mes bras.
Ce qu’ils font est admirable! JAMAIS je ne me permettrais de critiquer ces personnes qui, à un moment ou à un autre de leur vie, se sont choisis. Et je les prendrais tous dans mes bras pour les encourager. Parce que ce qu’ils font est la chose la plus difficile au monde! Ils doivent se faire violence pour garder leur vie… Ils doivent aller contre ce qu’ils sont pour survivre. Calculer tout ce qu’ils mangent, calculer toute l’énergie qu’ils dépensent…
Le mot qui revient le plus souvent dans leur texte est «Contrôle». Ils se mettent à tout vouloir contrôler. Ils se «félicitent» de ne pas avoir «flanché». Ces gens, à la seule force de leur volonté pourraient déplacer des montagnes, peu importe la raison pour laquelle, un beau matin, se lèvent et décident de changer leur vie.
Leur parcourt est le plus difficile qui soit! S’habiller pour aller au gym, refermer la porte du garde-manger à 22h00 parce qu’ils se sentent «vides», ne pas redemander une 2e portion du pâté chinois de maman même s’ils ont encore
faim… Choisir la salade et le saumon poché au restaurant plutôt que l’appétissante côte de bœuf juteuse. Et ils feront croire que tout ça ne les atteint plus, qu’ils sont dorénavant au-dessus de ces choses qui leur font mal. Pire encore, ils le croiront eux-mêmes.
Comment je sais tout ça? Parce qu’il y a 8 ans, j’ai été ces personnes qui ont pris ces décisions douloureuses. J’ai tenu aussi ce discours «Sans douleurs, pas de résultats!». Pourtant, dans la vie, je tiens ce discours de l’effort. Mais pour la perte de poids, il me fait vomir…
J’ai été cette personne qui a essayé de tout contrôler. Qui s’est convaincue qu’elle était capable de changer sa vie à la seule force de ses deux bras. J’ai perdu, à cette seule force, 100 livres. N’applaudissez pas!
Je sais ce qui attend ces personnes admirables! Un jour, elles atteindront leur objectif! (Là vous pouvez applaudir) Elles se sont répétées que ça serait leur bataille quotidienne pour leur vie, comme l’alcool l’est pour un alcoolique. Mais que si eux y arrivent, ils y arriveront aussi. Mais un jour, elles seront épuisées. Physiquement ou mentalement. J’en ai connu une douzaine dans ce cas-là et elles ont toutes eu ça. Certaines ont carrément fait une dépression (J’étais supposé être heureux lorsque je serais mince…) et d’autres comme moi sont tombés carrément malades physiquement.
Je sais ce que ces personnes vivront. La fatigue mentale qui s’installe, le corps, plus protégé par cette graisse et qui ne sait plus comment se gérer, ce BBQ où on laisse traîner plein de bouffe sur la table et Et si quelques unes ne passent pas par là, elles sont juste… Incroyables… Mais toutes les merveilleuses personnes qui vont revenir au point de départ… Ce n’est que normal parce que ça se passe toujours comme ça…
Et après que le yoyo soit remonté (ou descendu selon le point de vue), on essaie de reprendre le coup! On essaie! Mais pourquoi ça fonctionne pas comme la première fois? Ça peut fonctionner bien quelques temps, mais non… Tu ne retrouveras pas ton Mojo… C’est fini…
Ça peut fonctionner en prenant les choses d’une autre façon… Mais le game du contrôle, c’est terminé! Ton corps se souvient, ta tête se souvient et tout le monde va freaker!J’ai pas de conseils à donner… Je ne suis pas mieux… Mais je sais juste que si vous laissez filer la corde, c’est fini… Tant qu’on comprendra pas quel gouffre personnel nous a attiré jusque-là…J’ai gardé du bon de mon expérience… Ne serait-ce que de comprendre tout ça…
Ce qu’ils font est admirable! JAMAIS je ne me permettrais de critiquer ces personnes qui, à un moment ou à un autre de leur vie, se sont choisis. Et je les prendrais tous dans mes bras pour les encourager. Parce que ce qu’ils font est la chose la plus difficile au monde! Ils doivent se faire violence pour garder leur vie… Ils doivent aller contre ce qu’ils sont pour survivre. Calculer tout ce qu’ils mangent, calculer toute l’énergie qu’ils dépensent…
Le mot qui revient le plus souvent dans leur texte est «Contrôle». Ils se mettent à tout vouloir contrôler. Ils se «félicitent» de ne pas avoir «flanché». Ces gens, à la seule force de leur volonté pourraient déplacer des montagnes, peu importe la raison pour laquelle, un beau matin, se lèvent et décident de changer leur vie.
Leur parcourt est le plus difficile qui soit! S’habiller pour aller au gym, refermer la porte du garde-manger à 22h00 parce qu’ils se sentent «vides», ne pas redemander une 2e portion du pâté chinois de maman même s’ils ont encore
faim… Choisir la salade et le saumon poché au restaurant plutôt que l’appétissante côte de bœuf juteuse. Et ils feront croire que tout ça ne les atteint plus, qu’ils sont dorénavant au-dessus de ces choses qui leur font mal. Pire encore, ils le croiront eux-mêmes.
Comment je sais tout ça? Parce qu’il y a 8 ans, j’ai été ces personnes qui ont pris ces décisions douloureuses. J’ai tenu aussi ce discours «Sans douleurs, pas de résultats!». Pourtant, dans la vie, je tiens ce discours de l’effort. Mais pour la perte de poids, il me fait vomir…
J’ai été cette personne qui a essayé de tout contrôler. Qui s’est convaincue qu’elle était capable de changer sa vie à la seule force de ses deux bras. J’ai perdu, à cette seule force, 100 livres. N’applaudissez pas!
Je sais ce qui attend ces personnes admirables! Un jour, elles atteindront leur objectif! (Là vous pouvez applaudir) Elles se sont répétées que ça serait leur bataille quotidienne pour leur vie, comme l’alcool l’est pour un alcoolique. Mais que si eux y arrivent, ils y arriveront aussi. Mais un jour, elles seront épuisées. Physiquement ou mentalement. J’en ai connu une douzaine dans ce cas-là et elles ont toutes eu ça. Certaines ont carrément fait une dépression (J’étais supposé être heureux lorsque je serais mince…) et d’autres comme moi sont tombés carrément malades physiquement.
Je sais ce que ces personnes vivront. La fatigue mentale qui s’installe, le corps, plus protégé par cette graisse et qui ne sait plus comment se gérer, ce BBQ où on laisse traîner plein de bouffe sur la table et Et si quelques unes ne passent pas par là, elles sont juste… Incroyables… Mais toutes les merveilleuses personnes qui vont revenir au point de départ… Ce n’est que normal parce que ça se passe toujours comme ça…
Et après que le yoyo soit remonté (ou descendu selon le point de vue), on essaie de reprendre le coup! On essaie! Mais pourquoi ça fonctionne pas comme la première fois? Ça peut fonctionner bien quelques temps, mais non… Tu ne retrouveras pas ton Mojo… C’est fini…
Ça peut fonctionner en prenant les choses d’une autre façon… Mais le game du contrôle, c’est terminé! Ton corps se souvient, ta tête se souvient et tout le monde va freaker!J’ai pas de conseils à donner… Je ne suis pas mieux… Mais je sais juste que si vous laissez filer la corde, c’est fini… Tant qu’on comprendra pas quel gouffre personnel nous a attiré jusque-là…J’ai gardé du bon de mon expérience… Ne serait-ce que de comprendre tout ça…
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